Bande annonce * MY NAME IS NOBODY

MY NAME IS NOBODY & The Desert Foxes

'The Mentor'


"Vincent Dupas joue sous le nom de MY NAME IS NOBODY depuis 2003. Vite qualifié de 'story teller' suite à la série de portraits et histoires dressés dans «I hope you’re well, I am & I send you my fingers», (2006) dans la tradition des musiques folks, c’est accompagné des 'Desert Foxes' (Faustine Seilman, piano & chœurs / Erwan fauchard, basse & chœurs / Franzl O’Gautreau, batterie & chœurs) qu’il réalisa cet album et se produisit sur scène entre 2006 et 2008.C’est en songwriter assumé que MNIN revient en septembre 2008 avec un album solo, « At the Wolf pit ». Il y aborde des thèmes moins liés à ses expériences personnelles et amis qu’à des sujets plus profonds comme la religion ou la vieillesse. Le jeu de guitare évolue également vers un fingerpicking précis aux sonorités folks qui ne se contentent plus d’Amérique, tissant des liens avec les musiques traditionnelles écossaises ou de l’Est de l’Europe. S’en suivront 50 concerts à l’automne 2008 entre la France, l’Espagne et l’Italie, dont une partie en compagnie des mystiques américains 'Pillars & Tongues'.
Avant la sortie de cet album solo, Vincent a convié les Desert Foxes à travailler sur un nouvel album. Le travail avait déjà commencé sur la route avec quelques nouveaux morceaux, mais c’est pendant le printemps 2008 que le groupe réarrange les compositions. C’est avec Bruno Green (Lilium, Howe Gelb, Santa Cruz, Miossec…) qu’ils décident travailler sur la production de « The Mentor » dont l’enregistrement se déroule en août au Studio Cocoon près de Rennes, pour être mixé et masterisé chez lui à Lennoxville, Canada.

On notera au passage que la famille de MNIN & The Desert Foxes s’agrandit avec les participations de Jérôme Lorichon (Berg sans Nipple, Herman Düne) aux percussions et à la trompette, ainsi que Vassili Caillosse (Santa Cruz) qui illumine les compositions de ses banjos, de la pedal steel, et autres instruments à cordes.

Musicalement, grâce au savoir-faire de Bruno Green notamment, le terrain s’est donc ouvert à de nouvelles sonorités nettement plus électriques sur certains morceaux ('Strange', 'The Mentor', 'Harvest & Wine'), spiritual ('Doom', 'Changing life'), voire soul ('A Tree', 'A Home'), tout en assumant une americana plus classique ('7 AM train', 'Down in the City')."